Première nuit sans le double toit de la tente, il fait vraiment doux ici. Nathalie regrette de devoir revenir vers les montagnes pour aller à Pamukkale.
Aujourd’hui Datça, pour une découverte masques et tubas, on a choisi la côte Méditerranée, car le vent rend dingue côté mer Egée ! On comprend qu’Ulysse ait eu tant de mal à rentrer chez lui.
A Datça, on voit les deux mers : c’est l’endroit le plus fin de la presqu’île. Côté Egée, les éoliennes tournent en continu comme des ventilateurs !
Datça est une petite bourgade très touristique, fréquentée par les Stambouliottes aisés (ouh là on dirait le guide du Routard).
Au camping, comme nous sommes les seuls non Turcs, on a été initiés à toute les subtilités des environs. C’est comme ça qu’on nous a expliqué 3 fois le chemin (le meilleur, bien sûr) vers la plage… Qui doit être à 200 mètres.
On a pu constater que les codes de vie au camping sont ici les mêmes que partout. Côté équipements par contre, frigos personnels, coins cuisine avec réchauds et lavabos ! C’est un luxe plutôt rare !
Petit restau ce midi, fréquenté par des Turcs, à nouveau on a trop commandé… Il faut dire que c’est tellement appétissant tous ces plats, froids et chauds. Nathalie parle encore de sa salade de pommes de terre aux herbes (aneth, persil, huile d’olive, oignon doux). Tout simple mais délicieux, sans égaler bien sûr, celle de Sylvie, à l’andouille.
Frayeur sur la route au retour, en face d’un dingue qui doublait et ne se rabattait pas.
Ce soir régime avec petite salade tomates concombres fromage. C’est en fait une salade grecque, mais il ne faut surtout pas le dire.
A la coopérative, on a pris de l’huile d’olive et des amandes. Frustrant de ne pas avoir de bagagerie plus vaste !