Alors ça y est on a fini par quitter Sifnos, avec un petit pincement au coeur c’est vrai, et ce n’est lié à aucun abus, ni gras de cochon ni Ouzo, que l’on consomme uniquement sous la torture, ou par désespoir. En route donc pour Paros puisqu’avec Naxos, c’est la seule façon d’aller à Amorgos…